— Module 11
Le Nombre d'Or
La divine proportion
Le nombre qui fascine le monde
Les propriétés du nombre d’or régissent les propotions considérées comme les plus harmonieuses et se retrouvent donc dans l’esthétique. C’est un critère de beauté que l’on observe régulièrement en peinture, comme dans La Joconde ou l’Homme de Vitruve de Léonard de Vinci par exemple.
C’est également le cas dans la nature où l’on met en évidence des périodicités dans la répartition des feuilles le long de la tige, des pétales de fleurs, l’implantation en spirale pour les écailles de la pomme de pin et des graines de tournesol et même jusque dans la forme de notre ADN.
Le conseil en image s’appuie sur ces règles de la divine proportion pour rendre votre apparence harmonieuse, gracieuse, agréable, et proportionnée… Le nombre d’or, qui régit le rapport harmonieux entre les parties et le tout, est un exemple frappant d’idée mathématique : un concept simple, presque primitif, qui se retrouve partout autour de nous.
Modules
1. Colorimétrie
2. Morphologie
3. Style
4. Particularités
5. Maquillage
6. Coiffure
7. Accessoires
8. Shopping
9. Gestuelle
10. Esthétisme
11. Nombre d'Or
12. Optique
13. Caractère
14. Psychologie
15. Communiquer
16. Observer
17. Ecouter
18. Logique
19. Entretien
20. Photographie
21. Zénitude
22. Séduire
23. Marketing
24. Certificat
Le Nombre d’Or également appelé « Divine proportion » est omniprésent dans la nature et se retrouve dans de nombreuses représentations naturelles et artistiques.
Le nombre d’or, une histoire ancienne toujours d’actualité
Pourquoi cette notion est-elle incontournable pour trouver un équilibre au niveau artistique ?
Dans la Grèce antique, Pythagore et les pythagoriciens étudiaient tous ce qui était d’une grande symétrie. Un mathématicien grec, Euclide (au IIIe.siècle avant JC) introduit la valeur particulière de 1,61803398875 (phi). Elle définit le « rectangle d’or » construit suivant ce rapport et qui serait la représentation esthétique la plus harmonieuse possible. Cette proportion se retrouve notamment dans la construction du Parthénon à Athènes.
La suite de Fibonacci
En 1175, un mathématicien Italien du nom de Léodarno de Pisa Fibonacci introduit la suite de nombres entiers qui porte son nom. Elle consiste à additionner les deux nombres précédents pour créer le troisième : 0,1,1,2,3,5,8,13,21,34,55,… Le rapport des deux termes consécutifs de la suite tend vers une valeur constante, Phi.